Faire un atelier d'information sur les diverses plantes productrices de fruits ou de bais qui sont méconnues de la population et qui poussent au Québec. Ex: les baies de sureau, les amélanchiers, le thé des bois, etc.
Installer des bacs de culture de légumes et de fruits, avec des affiches explicatives, dans le du nouveau parc du Boisé des Frères.
Sur tout le long de la piste cyclable, faire l'installation d'affiches simples sur les produits comestibles pour favoriser l'information et l'apprentissage de la population sur la culture. Exemple : affiche sur les tomates à coté d'un banc
Créer un groupe de récoltes et de distribution, d'entretien et d'enseignement pour la plantation d'arbres fruitiers dans différents quartiers défavorisés ciblés dans la Ville de Victoriaville.
Créer un événement pour échanger les surplus de récoltes
Offrir une aide financière pour l'aménagement d'un jardin en bacs (coût des bacs sur mesure) pour les petits espaces
Que les élèves des écoles primaires puissent faire un jardin communautaire pour : intérêt envers l'agriculture, entraide, respect de la nature, participation, être dehors et diminuer leur hyperactivité.
Offrir des cours de jardinage pour les enfants dans les camps de jour d'été.
Intégrer des forêts nourricières en permaculture dans chaque quartier de la ville.
Partout en ville, le trèfle devrait être privilégié au gazon et ainsi nous réduiront l'entretien que l'on doit y porter.
Faire un mur végétal comestible sur l'hôtel de ville.
Utiliser des vignes Summreset et des kiwis pour végétaliser les clôtures dans les parcs
Aménager des espaces comestibles autour du Lac Bulstrode
Faire un jardin collectif au mont Arthabaska.
Inciter les propriétaires de lieux publics à planter des arbres fruitiers en façade de leur établissement.
Faire plus de fiches d'identification sur les plantes dans les endroits publics afin d'éduquer les gens.
Permettre les jardins en façade
Inciter les citoyens à faire des jardins en façade de leur résidence.
Faire un potager près du pont du Lac Bulstrode (au bout du boulevard Labbé) et y intégrer une aire de pique-nique.
Ajouter un jardin communautaire au parc Terre-des-jeunes. Pour y accéder de manière plus sécuritaire, des lumières le long du chemin pourraient y être installées.
Pour enjoliver l’entrée de la ville par la route 122 (section entre le boul. Jutras et la rue Vézina), nous pourrions installer des arbres au niveau du terre-plein.
Mettre des arbres fruitiers dans les rues et les parcs.
Créer des zones de bouturage et marcottage de plantes vivaces et arbustes biodynamiques et durables pour offrir à la communauté
Offrir aux adolescents la possibilité de faire pousser des légumes et participer à tout le processus du jardinage
La ville de Victoriaville pourrait offrir un service de conseils et d'accompagnement en terme d'agriculture et de production agricole aux citoyens qui ne s'y connaissent pas.
Ajouter un jardin communautaire à l'emplacement de la Vélo-Gare.
Développer la variété de fruits sauvages partout en ville, dont au Carré 150. Ajouter d'autres lieux de cueillettes aussi (centre ville, long des pistes cyclables, etc).
Il serait bien d'ajouter des bancs à intervalles plus rapprochés pour s'asseoir le long de la piste cyclable.
Il serait bien d'aménager un jardin pour cultiver des légumes et des fruits près de la vélo-gare (centre-ville). Mettre plus de fleurs au centre-ville, qui est un secteur accessible aux personnes âgées.
Il serait bien de créer des capsules informatives sur l'agriculture en ville à la radio, à la télé et sur internet.
Organiser la récupération de palettes pour la fabrication de jardins verticaux.
Créer un jardin collectif au parc de la Rivière. Ce parc est à côté de plusieurs blocs appartements et condos où habitent personnes immigrantes, jeunes familles et personnes âgées. Ceci favoriserait l'intégration, ainsi que le partage de savoir interculturel et intergénérationnel.
Utiliser le grand terrain derrière le Sacré-Coeur, déjà biologique et enrichi par le cégep pour mettre en place des jardins collectifs ou communautaires ou pour louer des parcelles à des citoyens.
Embaucher ou trouver une personne pour assurer l'accompagnement communautaire des projets de jardinage de groupe : organisation de rencontres d'information, circulation de l'information entre les intéressé.e.s d'un même quartier, facilitation.
Un service mobile de broutage des gazons par des moutons.
Proposer un concours "sprint" d'innovation alimentaire (transformation alimentaire) qui porte sur une thématique en agriculture qui s'adresse aux adolescents et qui est dirigé et évalué par un grand chef cuisinier reconnu au Québec.
Encourager et soutenir la création de potagers devant les maisons, ainsi que le jardinage en façade dans la ville.
Créer plus de jardins communautaires à proximité des résidences pour personnes âgées.
Ateliers de médiation culturelle avec les citoyens pour créer des structures artistiques qui feraient office de treillis pour faire grimper des plants.
Faire des projets de jardins collectifs ou de démonstration avec une approche plus écologique / permaculturelle qui utilise les ressources du milieu au lieu d'aménagements intensifs artificiels et dispendieux. Par exemple, il est possible d'utiliser du paillis de feuilles (sheet mulch), du bois raméal fragmenté (BRF) et des feuilles/gazon dans les jardins collectifs.
Dans les parcs et le verger du boisé des frères, faire pâturer des moutons au lieu de couper le gazon avec des machines à pétrole, et faire un méchoui à l'automne qui sera aussi une levée de fonds pour les projets d'agriculture urbaine.
Installer un marché public au centre-ville.
Prévoir les adaptations réglementaires nécessaires au plan de zonage de la ville afin de faciliter la réalisation des actions qui seront retenues dans le plan d'agriculture urbaine.
S'inspirer du développement de l'agriculture urbaine pour ajuster notre réglementation locale de manière cohérente. Par exemple, Montréal a vécu une augmentation importante du nombre de ruches, mais l'autorisation ne prévoit pas de mesures en lien avec les plantes mellifères nécessaires à leur survie, etc.
Avoir une règlementation pouvant aller jusqu'à l'obligation de verdissement des nouvelles constructions commerciales qui ont souvent des toits plats et qui deviennent des îlots de chaleur.
Développer une monnaie locale qui pourrait servir non seulement à l'agriculture urbaine, mais aussi à l'achat chez les commerçants locaux participants. Ex.: Totnes au Royaume-Uni et ailleurs.
Organiser des ateliers d'information et d'échange de connaissances en lien avec l'agriculture urbaine avec des groupes de personnes aînées de la région, qui ont souvent une expertise précieuse à partager.
Que des organisations qui travaillent avec des personnes aînées mettent en place un projet de transmission de leurs savoirs en lien avec le jardinage et l'agriculture urbaine sous la forme d'un Livret des astuces.
Prioriser l'installation de jardins collectifs ou de cultures en libre-service dans les espaces sous-utilisés (avancées de trottoirs, terrains vacants, etc.) dans les zones de défavorisation, près des personnes marginalisées et près des maisons de jeunes.
Stimuler l'achat de produits issus de l'agriculture urbaine locale en facilitant leur identification par les citoyen.ne.s (ajout d'un logo, par exemple) et en instaurant un système en ligne qui permet de connaitre leur disponibilité dans les commerces.