Installer des bacs de culture de légumes et de fruits, avec des affiches explicatives, dans le du nouveau parc du Boisé des Frères.
Utiliser des vignes Summreset et des kiwis pour végétaliser les clôtures dans les parcs
Faire un jardin collectif au mont Arthabaska.
Ajouter un jardin communautaire à l'emplacement de la Vélo-Gare.
Organiser la récupération de palettes pour la fabrication de jardins verticaux.
Utiliser le grand terrain derrière le Sacré-Coeur, déjà biologique et enrichi par le cégep pour mettre en place des jardins collectifs ou communautaires ou pour louer des parcelles à des citoyens.
Embaucher ou trouver une personne pour assurer l'accompagnement communautaire des projets de jardinage de groupe : organisation de rencontres d'information, circulation de l'information entre les intéressé.e.s d'un même quartier, facilitation.
Encourager et soutenir la création de potagers devant les maisons, ainsi que le jardinage en façade dans la ville.
Dans les parcs et le verger du boisé des frères, faire pâturer des moutons au lieu de couper le gazon avec des machines à pétrole, et faire un méchoui à l'automne qui sera aussi une levée de fonds pour les projets d'agriculture urbaine.
Créer des forêts nourricières dans des espaces comme des stationnements, des terrains vacants, des parcs gazonnés, des terrains commerciaux, des bordures de routes et de pistes cyclables.
Favoriser les alternatives à la pelouse traditionnelle (gazon) sur les terrains publics et privés (jardins de fines herbes et de fleurs comestibles, potagers, arbustes et arbres fruitiers, etc.).
Les terres en friche de la MRC pourraient être transformées pour obtenir des légumes et chaque étudiant de la formation en agriculture biologique du Cégep de Victoriaville serait responsable d'une parcelle.
Choisir des bacs de culture hors-sol avec réservoirs d'eau intégrés pour optimiser la production.
Transformer la surface gazonnée au parc de l'Amitié entre les rues des Chênes et des Lilas en jardin communautaire.
Planter des arbres et arbustes fruitiers « libre-service » dans les endroits publics.
Permettre et encourager la culture potagère en façade des terrains résidentiels (offrir du soutien, des cours, partages des méthodes pour que ce soit joli).
Faciliter les cultures d'intérieur (hydroponique ou sous lumière artificielle). Un bon moyen de favoriser l'accès à une nourriture fraiche chez soi l'hiver. Ça peut aller de systèmes tout-en-un (voir ogarden, aérogarden) à des formations, ou autre...
Augmenter la disponibilité du compost Gesterra en facilitant l'accès, l'achat et le transport à l'écocentre de Victoriaville. Possibilité d'augmenter la disponibilité de la terre à jardin et de la terre à pelouse.
Micro-fermes urbaines dans les sous-sols commerciaux vacants. En collaboration avec le Cégep, faire produire par les étudiants en agriculture urbaine des aliments tels champignons et pousses qui seront directement vendus chez les commerçants partenaires.
Faire des consultations de quartier pour voir l'intérêt des gens à avoir un bac de jardinage dans leur parc municipal.
Informer, éduquer et offrir de l'espace pour jardiner au Comité d'accueil international des Bois-Francs (Baobab de l'agriculture = activité d'intégration). De nombreux nouveaux arrivants souhaitent un endroit où jardiner. C'est fortement ancré dans plusieurs cultures.
Une patrouille des poulaillers pour accompagner les résidents détenant un permis. Les services : conseils sur les soins et la santé, facilitation de l’acquisition des poules, de la nourriture et de la mise à la retraite ainsi qu’un service de gardiennage.