Il serait bien d'ajouter des bancs à intervalles plus rapprochés pour s'asseoir le long de la piste cyclable.
Former des comités intergénérationnels de quartier dédiés au développement de l'agriculture urbaine à une échelle très locale (identification des besoins spécifiques, mise en place de projets, mobilisation de bénévoles pour l'entretien des cultures, etc.).
Créer un parcours piétonnier qui relie différentes initiatives d'agriculture urbaine, auquel sont intégrées des productions culturelles.
Organiser des ateliers de cuisine dans les jardins collectifs ou près des aménagements comestibles.
Assurer la déminéralisation de terrains vacants, prioritairement dans les zones défavorisées et celles où se trouvent des îlots de chaleur pour permettre leur utilisation pour l'agriculture urbaine.
Éliminer les îlots de chaleur crée par les stationnements et les rues surdimensionnées en créant des espaces verts nourriciers. Cela permet aussi de réduire les eaux qui se dirigent directement dans les égouts pluviaux.
Qu'un berger urbain fasse brouter les aires gazonnées publiques par des animaux dans des enclos amovibles.
Inscrire les projets d'agriculture urbaine dans une stratégie d'adaptation et de lutte contre les changements climatiques (évaluer l'exposition de la population aux aléas climatiques, la vulnérabilité des différents secteurs de la ville, etc.).
Favoriser l'implantation de toit vert ou de mur végétal au centre-ville afin de diminuer les îlots de chaleur et récupérer des espaces inutilisés pour augmenter la présence de végétaux.
Dans le nouveau plan d’urbanisme de Victoriaville, revitaliser la rue Notre-Dame Ouest pour en faire une artère verte. Verdissement du bâti (ex. vigne à raisin).